jeudi 23 décembre 2010

«Monsieur, j'ai pour principe, écoutez bien cela, d'admirer l'admirable et de m'en tenir là.»

Nasri c'est le mec qui en finale de l'Euro des moins de 17 ans en 2004 dit à son homologue espagnol, un certain Cesc Fabregas dans le couloir d'avant match, que les bleus vont gagner, sans être hautain, mais une fierté & une force de caractère juste comme il faut. C'est ce mec qui à 21 ans décolle pour Londres alors que beaucoup pensent qu'il va cirer le banc à l'Emirates, et qui trois mois plus tard plante un doublé à excusez-moi du peu : Manchester-United. C'est ce minot n'a jamais voulu être comparé à Monsieur Zinedine Zidane, il a toujours su ce qu'il voulait et ne l'a jamais caché avec l'ambition d'aller toujours plus haut. C'est ce mec qui a encaissé des tonnes de critiques par un/des pseudos cadres de l'équipe de France pendant deux ans. C’est ce mec qui aurait pris la place dans un bus de zlatane majesté Sir Henry. C'est ce mec qui n'a pas été à la Coupe du Monde 2010 parce que le sélectionneur a lancé des coups de fusils contre les égos surdimensionnés. C’est ce mec qui peut être ravi de ne pas finalement pas y être allé, aujourd’hui il en sourit, moi aussi. C’est ce mec qui fait parti de la génération 87, qui enverra de nouveau les bleus sur le toit du monde. C'est ce mec qui a su se forger un mental d'acier avec les nombreuses blessures qu'il a eu. C'est ce mec qui est toujours revenu plus fort de ses blessures, qui ont su le rendre plus fort, ce mec ne renonce jamais. C'est ce mec qui engrange de la maturité à chaque match, qui n'a plus peur de faire certains actes. C'est ce mec qui a enfin obtenu son permis de conduire à 23 ans, c'est a souligné tellement exploit est grand. Ce mec n'a pas la langue dans sa poche mais sa main oui, en mettant un vent à un espèce de footballeur qui sert à rien, l'hypocrisie n'est que dans un sens. C'est ce mec que je défendrai contre vents et marrées. C'est ce mec qui est en train de devenir un grand joueur en faisant un début de saison tonitruant. C'est ce mec qui restera mon éternel minot même si ce mot ne lui plait plus, il le restera point. Le petit Prince du Vélodrome il n'y en aura toujours qu'un, celui que j'ai vu éclore sous mes yeux et franchir les marches du plus haut niveau sans presque jamais trébucher. C'est ce mec qui depuis cinq ans m'envoie des étoiles pleins les yeux à chaque matchs, dans un passé en bleu, en blanc ou en rouge aujourd'hui. C'est ce mec qui quand il ne joue pas, une partie de moi part avec sa blessure, je suis vide, absente jusqu'à son retour. C'est mon repère, ma boussole dans ce monde. C'est ce mec que je soutiendrai où qu'il aille, parce que j'ai la certitude que ses choix seront toujours juste et conforme à la norme que je juge normal dans le football, j'en ai déjà eu la preuve le 11 juillet 2008. Ce mec c'est Samir Nasri et il n'y a que lui dans ma vie. Cinq ans qu'il enchante ma vie, mon quotidien. J'ai passé l'âge d'avoir une idole, c'est un modèle de réussite que je veux suivre par sa force de caractère, il a réussit en ne se laissant pas marcher sur les pieds. On l'a admiré puis descendu et à l'heure actuelle tout le monde ne cesse de l'encenser de part et d'autre, mais il restera lui Samir, il ne changera pas. A seulement 23 ans c'est déjà un grand, ce n'est que le début d'un magnifique rêve..Je veux pas passer pour une de ses meilleures supportrice, parce que ce n'est pas le cas, mais j'ai une seule chose à dire, j'étais là quand il était blessé, n'était pas très bon, pris en grippe par des "cadres" de l'équipe de France, alors c'est facile d'être fière de lui maintenant mais si vous pouviez arrêtez merci.
« Samir est un joueur qui a pris une nouvelle dimension. Il s’entend à merveille avec Cesc Fabregas. Ils pourraient jouer les yeux bandés tous les deux, estime le sélectionneur d’Israël. Ils arrivent à se trouver, on voit qu’ils ont envie de se faire des passes. Samir est le joueur qui est en train de crever l’écran en Angleterre. Quand tu le vois jouer comme ça, tu te rends compte qu’il a atteint un top niveau. S’il pouvait faire de même en équipe de France, il apporterait un vrai plus aux Bleus. Il est dans une forme exceptionnelle. »

dimanche 5 décembre 2010

Guillaume is a genius.


Mon idole, Ne le dis à personne, Les petits mouchoirs.
La plage, Mon idole, Joyeux Noël, Ne le dis à personne, Ensemble c'est tout ...


Rien n’est plus comme avant depuis trois ans, sept mois & sept jours où t’es parti. On avait besoin de toi. Moi j’avais encore besoin de toi, de tes conseils..Tu verrais le chenapan il a cinq ans aujourd’hui c’est un sacré gars, t’aurais été heureux de le voir grandir, un vrai ti gars de la campagne, enfin un petit fils et la petite peste elle s’est assagit mais pas trop non plus. Maintenant tu verrais cette pagaille, c’était déjà pas joli à voir mais c’est pire depuis trois ans, ça te gonflerait, tu râlerai comme à chaque fois, tu irais prendre la voiture pour aller voir ailleurs en attendant que ca se calme. T’as continué, t’as pris la fuite mais t’es jamais revenu, ça doit vraiment être bien où, j’aimerais te rejoindre pour voir si c’est si beau mais il est pas encore temps..Si tu le vois dis lui bonjour je n’ai pas de souvenir mais j’aurais aimé passer du temps avec lui comme toi, aussi longtemps même si ce n’était pas assez. Je t’ai vu la dernière ou je t’ai annoncé que j’avais eu le code après l’avoir loupé deux fois et tes mots résonnent dans ma tête tous les jours : ” Maintenant faut conduire”. C’était peut-être un signe comme on me l’a dit, te l’avoir annoncé et tu t’es envolé le lendemain, mardi 6 mars 2007, 20h20 ce coup de téléphone a été fatal. Ils sont partis à Clermont, revenus tard dans la nuit je regardais la télé mais j’ai éteint quand je les entendus rentrer, je ne voulais pas les voir. Pendant ces longues heures, j’ai pas voulu penser au pire, je savais qu’il s’était passé quelque chose mais pas ça, non la veille tu te portais bien enfin affaiblit mais pas plus mal..Tu devais fêter tes 80 ans dans trois jours, une barre symbolique au lieu de ça le lendemain on t’enterre devant un pavé de monde, des discours à n’en plus finir, tu es et tu resteras une personne aimée et respectée qui n’avait des œillères contrairement à beaucoup qui ne font pas avancer le département. Si tu étais encore là, tu serais bien plus battu pour les avoir ces éoliennes en face de chez nous, ton successeur n’a pas la même hargne et je sais si un jour on les verra mais si un jour elles apparaissent ce sera grâce à toi et pour toi. Depuis trois ans je ne suis plus même, pourquoi je ne suis devenue une guimauve ? A chaque film triste je pleure, que j’entends le mot grand-père ca m’attriste & que je regarde les étoiles chaque soir pour espérer te voir (Le Roi Lion est passé par là) ? Pourquoi je me dis que t’avais encore beaucoup de chose à faire avec nous ?

  • Faire le deuil, sa signifie quoi, en fait? Oublier ? Apprendre à vivre sans l’être que l’on vient de perdre? A bien réfléchir, cette phrase ne veux rien dire. Quand on perd un être cher on peut pas l’oublier. C‘est impossible ! Chaque jour on y pense, chaque jour on se remet en tête les moments de bonheur, de malheur, les moments de la vie que l’on a vécus avec lui. Et les photos que vous avez gardées avec vous sont là, dans vos moments de blues, pour vous faire repenser à cette personne disparue physiquement, mais pas en vous. Oui, elle est morte, elle n’est plus là, mais elle est en vous chaque jour, chaque seconde. ( Vincent Humbert )



  •   « Il n’est pas nécessaire d’être née à Paris pour avoir le style de la Parisienne. J’en suis le meilleur exemple : j’ai vu le jour à Saint-Tropez ! Avoir l’attitude made in Paris est plus un état d’esprit. Être rock et jamais bourgeoise par exemple. La Parisienne ne tombe jamais dans le piège des tendances : les laisser infuser et s’en servir à bon escient, voilà la recette secrète! Et garder toujours un objectif : s’amuser avec la mode. Elle suit quelques règles, mais aime bien les transgresser aussi, ça fait partie du style. Son ADN tient en ces 6 points. Facile non ? » Inès de la Fressange
« Y’a des jours où… Tu me manques tellement, que j’aimerais crever tant ça fait mal. »

samedi 4 décembre 2010

  • « Le temps court s’écoule et notre mort seule arrive à le rattraper. La photographie est un couperet qui dans l’éternité saisit qui l’a éblouit. »